"Poser le regard nu sur les illusions que nous portons

Gratter les surfaces rigides

Dévoiler ce qu’elles recèlent
Autour des matières

Une vie invisible."

Quelques mots énigmatiques et poétiques posés côte à côte tracent les contours de ce parcours musical et sonore : passage d’un territoire intérieur à l’autre, d’une strate humaine à son attenante. La pianiste plonge ici tête baissée dans le monstre piano, le contourne ou l’affronte pour mieux l’apprivoiser. Au creux des résonances, une musique flottante émerge, à la fois sensible et dense, libre et étrange.

 

L’artiste sonore Olivier Meyer met en espace ses ondes sonores. Le lieu se trouve ainsi mis à l’écoute, l’espace enlace les publics.